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  • Le Dobos torta de Maman, notre gâteau hongrois de Noël

    Pas de Noël pour nous sans notre Dobos torta façon bûche de Noël ! La recette de Maman. Autant prévenir tout de suite les Hongrois, Maman a pris quelques libertés avec le Dobos torta traditionnel et emblématique de la cuisine magyare. Enfin seulement pour la couverture, je vous rassure, car le reste de la recette est fidèle. J'ai découvert il y a quelques années que le "vrai" Dobos (prononcer dôbôch) est en forme de disque et que la couverture est un glaçage au caramel. Le Dobos de Maman, allongé en forme de parallélépipède, s'inspire plutôt du Stefania torta car il fait impasse sur le toping au caramel. Bref, le Dobos de Maman, c'est notre Dobos à nous. Celui que, enfants, nous appelions "jaune-toukouté". Celui que Maman a toujours fait pour nos anniversaires et pour Noël et que je réalise aussi pour ces mêmes fêtes. Et lorsque j'ai demandé à mes fils, à mon neveu Benjamin, à ma nièce et princesse Sheva quelle recette devait immanquablement figurer sur ce site, le point commun a été : le Dobos ! Donc le voilà ! Ingrédients pour 4 à 6 personnes Pour la génoise 6 œufs 100 g de sucre 90 g de farine Pour la crème 250 g de chocolat noir riche en cacao (idéalement au moins 60% de cacao, moi j'utilise le Caraïbe 66% de Valrhona) 250 g de beurre doux 125 g de sucre glace (j'ai divisé par deux par rapport à la recette de Maman et c'est largement suffisant) facultatif : on peut parfumer avec un peu de café ou un peu de rhum au choix Progression Pour la génoise Préchauffer le four à 200°, chaleur statique. Séparer les blancs des jaunes d'œufs. Mélanger les jaunes avec le sucre pour blanchir la préparation, puis ajouter la farine. Monter les blancs en neige bien fermes et les ajouter à la préparation. La cuisson se fera en deux fois. Déposer la moitié de la préparation sur une plaque rectangulaire de 35 x 25, type plaque à gâteau roulé. Petit truc important de Maman pour la cuisson : au lieu de mettre l'appareil à génoise à l'intérieur de cette plaque, elle l'étalait au dos (après l'avoir enduit de beurre et de farine). Moi je fais de même mais je mets une feuille de silicone sur le dos, donc inutile de beurrer et fariner. Ainsi, une fois cuite la pâte n'a pas besoin d'être démoulée, il suffit de la détacher en glissant un grand couteau entre le dos du plat et la génoise. Laisser cuire environ 12 mn jusqu'à ce que la génoise soit légèrement dorée. La détacher ensuite au couteau comme indiqué au paragraphe précédent, la déposer sur un torchon propre et la couper en trois bandes égales. Répéter l'opération avec l'autre moitié de l'appareil à génoise. Au final, on dispose donc de 6 bandes de génoise. Pour la crème au chocolat Laisser le beurre ramollir à température ambiante. Faire fondre à feu très doux (ou au bain-marie) le chocolat puis ajouter le sucre glace. NB : On peut utiliser du sucre semoule mais la crème sera moins lisse et surtout moins onctueuse. Enfin, ajouter le beurre et bien mélanger. Montage : garder la plus belle bande pour la fin. Enduire les cinq autres bandes de chocolat en les empilant au fur et à mesure. Une fois la 6e posée, avant de la recouvrir du chocolat restant, raboter avec un couteau les quatre côtés du Dobos, afin d'obtenir un joli parallélépipède. Moi j'utilise carrément un couteau électrique. Ne surtout pas jeter ces chutes de Dobos. Elles participent au rite familial. Depuis toujours - Maman hier et moi aujourd'hui - appelons nos enfants (quelque soit leur âge, n'est-ce pas Tristan !) dans la cuisine pour déguster directement, avec les doigts, ce qui constitue la madeleine de Proust de la famille. La génoise est toute fraîche, le chocolat encore presque coulant...que du bonheur ! Enfin recouvrir de chocolat l'ensemble du gâteau, y compris les quatre côtés. C'est prêt ! Il est préférable de laisser le dobos dans un endroit tempéré mais d'éviter le frigo qui le dessècherait. Au moment de Noël, décorer le dessus en passant une fourchette sur le dessus pour imiter les rainures d'un tronc d'arbre et ajouter éventuellement de petits personnages. Il se découpe en parts d'un centimètre environ. Mais bon...on peut en prendre deux à la fois ! Mon conseil La génoise et la crème chocolat peuvent être préparées la veille pour assembler le Dobos le jour J. Le Dobos se conserve 48 heures. Au-delà, il reste comestible mais devient un peu sec.

  • Spécial fêtes light : nage de Saint Jacques, langoustines et gambas

    Voici une recette à la fois festive, ultra légère et abordable : oui c'est possible ! Un trio de Saint Jacques, langoustines et gambas dans un bouillon léger, accompagnés de petits légumes colorés de saison. Cette recette peut aussi bien constituer une entrée qu'un plat. Pour le réveillon de Noël comme pour celui de la Saint Sylvestre. En outre, l'essentiel de la recette peut se préparer à l'avance : bien pratique pour ne pas trainer en cuisine le jour J. En un mot, une recette de Fêtes bon plan ! Ingrédients pour 2 personnes 4 coquilles Saint Jacques (avec les barbes) 4 gambas crues 4 langoustines crues 1 navet boule d'or 1 ou 2 carottes (suivant grosseur) 1 petit brocolis 10ml de vin blanc 400 ml de bouillon de légumes (cube ou fait maison) 1 cs de crème fraiche 1 feuille de laurier thym poivre Progression Ouvrir les Saint Jacques (ou demander à son poissonnier) détacher les noix mais conserver les barbes et le corail, après les avoir soigneusement lavés. Réserver les noix au frais. Décortiquer les langoustines et les gambas, les réserver avec les noix de Saint Jacques au frais. Conserver les carcasses avec les barbes et le corail. Laver et peler le navet, le couper en huit morceaux. Laver et peler les carottes et les couper en bâtonnets. Laver le brocolis et détacher quelques bouquets. Dans une casserole, mettre à infuser 2 à 3 minutes le vin blanc avec le thym, le laurier et quelques grains de poivre. Ne pas saler. Puis verser le bouillon de légumes et laisser bouillir et réduire pendant environ 10 mns. Ajouter les barbes et carcasses des crustacés. Laisser mijoter 5 minutes environ en écrasant de temps en temps les carcasses afin d'en retirer toute la saveur. Filtrer puis remettre ce bouillon sur le feu. Y pocher les légumes. Le temps de cuisson, environ 5 minutes pour les navets et les carottes, 2 minutes pour les bouquets de brocolis, dépend de la grosseur des morceaux. Débarrasser les légumes et réserver au chaud. Au moment de servir, ajouter une cuillère à soupe de crème fraiche dans le bouillon, mélanger, porter à léger frémissement - cela ne doit pas bouillir. Pocher d'abord les gambas et les langoustines pendant 1 minute, puis ajouter les légumes pour les réchauffer Enfin, y déposer les Saint Jacques et éteindre le feu. Elles doivent être chaudes mais quasiment crues. C'est prêt ! Servir dans des assiettes creuses préalablement chauffées, une louche de bouillon d'abord, puis les légumes variés, les langoustines, les gambas et les Saint Jacques. Décorer avec une pince de langoustine. Mon conseil Je n'ai pas ajouté de sel à ce plat car le bouillon de légumes et de carcasses de crustacés est suffisant salé. Au besoin, rectifier à votre goût au moment de verser la crème fraîche. Ce plat peut se préparer en grande partie la veille : le bouillon et les légumes cuits à l'avance seront alors conservés au frigo et réchauffés pour terminer le plat au dernier moment. Vous pouvez évidemment varier les légumes au gré du marché et de vos envies !

  • Saint Jacques toutes simples, cuites au four dans leur coquille

    De toutes les recettes de coquilles Saint Jacques, celle-ci est sans doute ma préférée. Ultra simple gouteuse et diététique, elle sublime la saveur de ce mets délicat. Le plus difficile - si l'on peut dire - est la préparation, car il faut nettoyer la Saint Jacques et ôter les bardes tout en conservant la noix attachée à la coquille. Alors de deux choses l'une, soit votre poissonnier, expert, saura vous les préparer, soit vous lui demandez juste de les ouvrir et vous les parez vous-mêmes. Avec mes explications, photos à l'appui, c'est un jeu d'enfant. Ingrédients pour 2 ou 3 personnes 6 Saint Jacques encore dans leur coquilles 10 g de beurre par coquille (soit 60 g) fleur de sel poivre du moulin. Si possible le poivre de Timut au parfum délicatement citronné Progression Faire ouvrir les coquilles par le poissonnier (ou le faire soi-même). La noix se trouve entourée de bardes et du corail. Glisser l'index sous la petite poche noire, comme indiqué sur la photo, la saisir en faisant pince avec le pouce et tirer vers soi en soulevant délicatement. L'ensemble de la barde vient tout seul, y compris avec le corail. Seule la noix reste attachée. Il suffit alors de rincer abondamment sous le robinet l'intérieur de la coquille, pour ôter tout le sable niché autour et sous la noix. Renouveler l'opération avec chaque coquille. Dégager ensuite les coraux des bardes et les rincer également. Ils n'entrent pas dans la réalisation de cette recette mais peuvent servir ultérieurement pour cuisiner une sauce corail safranée par exemple. Donc moi, je les congèle. Parsemer de gros sel une plaque allant au four et y disposer les coquilles. Le gros sel permet de caler les coquilles. Déposer 10 g de beurre sur chaque noix et un peu de fleur de sel. Préchauffer le four à 200°. Passer au four pour 4 à 5 minutes maximum, selon la grosseur des noix. Le beurre doit être fondu mais surtout pas noisette, les noix doivent être chaudes mais encore nacrées. C'est prêt ! Sortir du four, ajouter un tour de moulin à poivre et servir immédiatement.

  • Légumes rôtis au four tout simple et tout bon

    Voilà une recette végétarienne toute simple et sacrément bonne dont j'ai piqué l'idée à Julie Andrieu : des légumes grossièrement coupés, marinés dans une bonne huile d'olive et des herbes de Provence puis cuits tel quel au four. C'est hyper rapide et inratable. De plus cette recette se décline en toute saison en variant les légumes. Pour ma part, je la réalise souvent pour accompagner un poisson poché ou une grillade. C'est un bon moyen d'apprécier la saveur des légumes. Et de plus c'est très sain et diététique, alors pourquoi s'en priver ! Ingrédients pour 2 à 3 personnes Légumes au choix : en hiver par exemple 3 carottes moyennes 3 navets boule d'or 2 belles échalotes dodues 3 à 4 gousses d'ail 1 ou 2 tomates 3 à 4 cs d'huile d'olive herbes de Provence au choix paprika (facultatif) sel, poivre Progression Laver et éplucher les carottes et les navets et couper en gros morceaux. Laver les échalotes mais ne pas les peler et les fendre en deux dans la longueur. Dans un plat allant au four, verser l'huile d'olive, ajouter une bonne cuillère à soupe d'herbes de Provence (au choix ou en mélange), une cuillère à café de paprika, du sel et du poivre. Mélanger puis y déposer les légumes. Laisser mariner l'ensemble une vingtaine de minutes si possible. Ma variante perso : On peut également mettre les légumes et la marinade dans un sac type congélation et bien secouer le tout pour que les légumes soient uniformément aromatisés. On malaxe puis on laisse reposer comme précédemment, avant de repartir les légumes dans un plat. Préchauffer le four à 200°. Au moment d'enfourner ajouter les tomates coupées en quatre (ou six suivant grosseur), bien étaler les légumes afin qu'ils ne se chevauchent pas. Ajouter un filet d'huile d'olive et mettre à rôtir environ 50 minutes. Remuer les légumes de temps en temps. NB : il me restait de la veille quelques petites pommes de terre rattes cuites avec leur peau, je les ai ajoutées les 10 dernières minutes. Lorsque les légumes sont cuits et bien dorés, c'est prêt ! Mon conseil Penser à ajuster le temps de cuisson en fonction des légumes utilisés.

  • Csirkeleves la soupe de poulet hongroise

    Qui dit que la cuisine hongroise est lourde et grasse ? Il y a aussi la Csirkeleves (prononcer tchirkèlèvèch), littéralement soupe (leves) de poulet csirke, une soupe hongroise hyper simple, rapide à faire et très diététique. Dans sa recette, Maman coupait les légumes en petits morceaux. Moi je lui préfère la recette traditionnelle ou les légumes restent presque entiers, proche d'un pot-au-feu et de la poule au pot. Ingrédients pour 4 personnes 1 gros poulet fermier ou bio 2 belles carottes 1/2 céleri boule 1 gousse d'ail 1 oignon persil ou estragon sel une dizaine de grains de poivre noir 2 litres d'eau Progression Découper le poulet en huit : les ailes, les hauts de cuisse, les pilons, le blanc en deux. Perso, j'enlève la peau au maximum car autant j'en raffole quand elle est bien croustillante sur une volaille rôtie, autant cuite au bouillon je la trouve sans intérêt, grasse voire écœurante. Je la laisse seulement sur les ailes, trop difficile à enlever. Disposer ces morceaux dans une grosse cocotte. Vous pouvez ajouter également la carcasse pour obtenir un bouillon plus goûteux. Elle sera enlever avant d'ajouter les légumes. Recouvrir d'eau froide, saler et ajouter les grains de poivre. Porter à ébullition et écumer les impuretés qui remontent en surface. Au bout de 30 minutes de cuisson, ajouter l'oignon entier pelé, la gousse d'ail, les carottes pelées coupées en quatre dans la longueur et le demi cèleri, épluché et coupé en tranches épaisses. Laisser cuire encore 30 à 40 minutes puis éteindre le feu pour laisser reposer le tout. Au moment de servir, réchauffer délicatement, retirer les morceaux de poulet, de carottes et de cèleri et filtrer le bouillon pour le débarrasser des grains, de poivre, oignon, ail et impuretés restantes. Ajouter du persil haché (ou de l'estragon ce qui n'est pas hongrois, mais j'adore. Maman le faisait toujours). Disposer dans chaque assiette deux morceaux de poulet, carottes et cèleri puis verser dessus à la louche le bouillon persillé bien chaud. Mon conseil Etant donné que j'ai à la maison certains gros amateurs de pommes de terre, j'en fais cuire à part deux ou trois, épluchées et coupées en deux, dans une casserole d'eau salée. Au moment de servir, je les ajoute dans les assiettes à la demande. Mais ne surtout pas les faire cuire dans le bouillon, cela le troublerait. On peut ajouter dans le bouillon des petites pâtes, Maman y mettait parfois des pâtes alphabet ou des boulettes de pain azyme, pàska gomboc.

  • Gâteau 2 ingrédients : chocolat et pommes, sans cuisson, ultra léger

    Je n'y croyais pas mais je l'ai testé : ce gâteau est incroyable ! Incroyablement bon, incroyablement léger, incroyablement facile. Le gâteau à deux ingrédients - chocolat et pommes- sans cuisson, est une super découverte. Une recette vegan, un dessert sans gluten. Qui aurait imaginé ça? Sûrement pas ma petite Maman et pourtant je sais qu'elle aurait adoré. Voici les explications de ce dessert chocolat ultra rapide. Ingrédients pour 2 personnes 300 g de pommes (soit 2 pommes moyennes) 150 g de bon chocolat noir (moi j'ai utilisé du valrhona Caraibes à 66%) Progression J'ai opté pour la variété de pommes reinette, mais vous avez le choix. Eplucher les pommes, les couper en morceaux et les mixer jusqu'à obtenir une purée de pommes. Faire fondre le chocolat, au bain marie, à feu très doux ou au micro-ondes. Lorsqu'il est bien fondu et encore chaud, ajouter la purée de pommes crues et bien mélanger. Redonner éventuellement un coup de mixer plongeur afin d'obtenir un mélange de texture bien lisse. Utiliser un moule (à charnière de préférence) et tapisser le fond avec du papier sulfurisé. Y verser le mélange chocolat-pomme et réserver au frigo au moins 3 heures. Moi je l'ai préparé la veille et laissé prendre toute la nuit au réfrigérateur. Au moment de servir, démouler, présenter sur un plat. C'est prêt ! Mon conseil Si vous ne dégustez pas le gâteau en une fois (ce qui m'étonnerait...) le remettre au frigo. Il est meilleur bien frais. Un truc pour le service : présenter la partie qui était en contact avec le papier cuisson au-dessus. Elle porte un léger gaufrage dû aux marques du papier. C'est top! Cette recette peut être réalisée avec d'autres purées de fruits, comme des bananes ou de poires. A tester selon vos goûts, vos envies...

  • Plat maison spécial chien : mitonnée de poulet aux légumes

    Cette recette a une histoire 😉 Parmi mes abonnés assidus, il y a un chien, le pomsky Télhió, et je lui ai promis une recette rien que pour lui. J'ai profité de garder quelques jours sa cousine Maya pour tester un petit plat maison simple, sain et rapide. Pour les proportions, je me suis inspirée des conseils canins trouvés en ligne, pour le reste j'ai mitonné à ma façon. Le résultat a été très apprécié par ma petite Maya alias Mayonnaise. Du 100% maison, avec à la base les restes d'un poulet rôti familial : on ne jette rien ! Ingrédients pour 2 repas d'un chien de 2,5 kg (soit 75 g d'aliments pour un repas) 55 g de poulet 55 g de légumes (dont 40 de carottes et 15 de courgette ou haricot vert) 40 g de riz blanc (gluant si possible) bouillon de poulet Progression Plonger la carcasse d'un poulet rôti (dégusté en famille la veille) dans de l'eau, porter à ébullition et laisser cuire au moins 30 minutes voire davantage. Ne pas saler. S'il reste du poulet cuit, le couper en petits morceaux, sinon découper du blanc de poulet cru. Couper en petits morceaux une carotte, faire de même avec les légumes verts. Ôter la carcasse du bouillon, filtrer (pour éviter de laisser de petits os, c'est dangereux pour les chiens), y plonger les légumes et remettre en cuisson. Ajouter le poulet et poursuivre la cuisson. Pendant ce temps, cuire le riz dans de l'eau bouillante, sans saler ! Le sel n'est pas bon pour nos amis à quatre pattes et les aliments en contiennent suffisamment naturellement. Lorsque les légumes sont bien cuits - pas de cuisson al dente - ajouter le riz et cuire encore quelques minutes. Le riz doit être très cuit. Le but est que l'ensemble ne soit pas trop desséché, qu'il reste un peu de bouillon. Laisser refroidir. C'est prêt. Mon conseil J'ai donné les quantités pour un petit chien. On recommande environ 30 g d'aliments par kilo par jour. Il faut donc bien sûr multiplier les quantités en fonction du poids de l'animal ou pour préparer plusieurs gamelles à la fois. A conserver dans une boite plastique au frigo.

  • Spécial Halloween : spaghetti all' Assassina - la recette de pâtes à la meurtrière

    Voilà une recette idéale pour Halloween ! Les spaghettis à l'assassine ou à la meurtrière, sont un primo piatto italien, facile à réaliser, délicieux et du meilleur effet vampire ! Spécialité de Bari, dans les sud de l'Italie, cette recette ne nécessite que très peu d'ingrédients : des pâtes, de la sauce tomate - bien rouge évidemment, de l'ail et du piment fort, car le tout doit être puissamment relevé. L'originalité des spaghettis all' Assassina réside dans le mode de cuisson : à la poêle et non dans une grande quantité d'eau salée, ce qui lui confère à la fois du croustillant et du crémeux. Un régal. Je vous explique tout ! Ingrédients pour 2 personnes 200 g de spaghettis 1,5 l d'eau 3 ou 4 cs de concentré de tomates (en tube ou en conserve) 80 g de sauce tomate (maison, ou en bocal ou en conserve; nature ou au basilic, par exemple) 1 belle gousse d'ail frais 1 piment rouge frais (ou à défaut sec) 1 cs d'huile d'olive sel Ustensile Il est indispensable d'avoir une grande poêle pouvant contenir les spaghettis entiers à plat. Progression Mettre à bouillir l'eau, sans la saler, puis, mettre à feu minimum et y verser les 3 ou 4 cuillères à soupe de concentré de tomates. Bien mélanger. Il faut que la couleur se rapproche de celle du sang frais. Evidemment ;) Réserver ce bouillon. Laver et couper en petits morceaux le piment; éplucher et émincer l'ail. Dans une grande poêle, mettre à chauffer l'huile d'olive et y déposer le piment et l'ail. Dès qu'ils commencent à dorer légèrement, ajouter la sauce tomate. Mélanger et laisser cuire à feu plutôt vif pendant environ 5 mn, tout en surveillant afin que cela n'attache pas. Déposer les spaghettis dans la poêle - comme indiqué sur la photo, puis, toujours à feu assez vif, les laisser commencer à attacher sans les remuer. Là réside LE truc de cette recette. Les spaghettis doivent légèrement caraméliser au fond de la poêle. Ce n'est donc qu'au bout de 2 à 3 minutes, qu'on verse une louche de sang - enfin je veux dire du bouillon de concentré de tomates ;) . Puis, tel un risotto, mélanger avec une spatule, toujours à feu assez vif, jusqu'à ce que le liquide soit absorbé. Renouveler l'opération, louche par louche, jusqu'à ce que les spaghettis soient al dente, soit environ 7 à 8 minutes. A ce moment là, la sauce est devenue bien crémeuse grâce à l'amidon libéré par les pâtes. Rectifier l'assaisonnement en sel si besoin, mais attention la sauce tomate est déjà salée. C'est prêt ! Servir immédiatement dans une assiette creuse, préalablement réchauffée si possible. Mon conseil On peut décorer avec du persil haché et/ou proposer du parmesan râpé. Mais traditionnellement, les spaghettis all' Assassina sont à la fois croquants, crémeux et très épicés et se servent donc tels quels.

  • Halloween : les doigts de sorcière, dita della strega

    Envie de déguster quelques doigts de sorcière sanguinolents pour Halloween ? Cette recette italienne est faite pour vous :) Un dessert facile à faire, du meilleur effet pour amuser grands et petits dont j'ai trouvé la recette sur le site giallozafferano. Ces doigts se grignotent tels quels ou - encore plus terrifiant ! - se trempent dans un verre de sang - ou plutôt de vin ou de porto ;). C'est délicieux ! A servir après les spaghettis all'assassina, ma recette de pâtes à la meurtrière, bien sûr ! Bonne fête d'Halloween à tous! Ingrédients pour environ 20 doigts de sorcière 400 g de pâte sablée (ma recette de pâte maison, ou toute faite mais de qualité pur beurre) Une vingtaine d'amandes émondées confiture de framboises 1 oeuf Progression La pâte sablée doit être en bloc. Une fois à température ambiante, en découper des tranches d'environ 30 à 35 g. Façonner chaque tranche en forme de doigt. Marquer une extrémité de chaque doigt avec une amande pour former l'emplacement de l'ongle. Casser l'oeuf en séparant le blanc du jaune. Conserver le jaune pour la dorure. Avec un pinceau, badigeonner l'emplacement des ongles de blanc d'oeuf puis y enfoncer légèrement les amandes pour qu'elles adhèrent. Avec la pointe d'un couteau strier les doigts pour imiter les phalanges. Puis sectionner l'extrémité de chaque doigt (opposée à l'ongle) avec un couteau pour simuler un tranchage net. Déposer les doigts sur un plat allant au four, recouvert d'une feuille de silicone ou de papier sulfurisé. Battre le jaune d'oeuf avec un peu de lait, puis badigeonner les doigts. Déposer un peu de confiture de framboises à l'extrémité sectionnée des doigts. Si possible laisser reposer 30 minutes au frigo. Préchauffer le four à 180° chaleur statique puis enfourner pour environ 25 minutes (cela dépend de la grosseur des doigts). Lorsqu'ils sont bien dorés, les doigts de la sorcière sont prêts. Laisser refroidir. On peut rajouter un peu de confiture pour un effet "sang frais" ou préférer l'effet "sang séché coagulé" :) Mon conseil A présenter sur un plat - noir bien sûr - avec éventuellement du porto ou un vin rouge. Demandez alors à vos convives: "Qui veut un doigt de vin ou de porto?"🤣

  • Pim's maison : la recette facile simple et inratable

    Si comme moi vous raffolez des pim's, ces petits gâteaux à la confiture et au chocolat, cette recette maison pour les réaliser est pour vous. Personnellement, j'ai découvert les pim's, ou Jaffa cakes, il y a très longtemps. Je les ai dévorés pendant des années et mes enfants - petits puis devenus grands - perpétuent la tradition familiale. Alors je me suis dit : pourquoi ne pas essayer de les fabriquer moi-même. Et oh bonheur ! C'est très facile. Alors évidemment, certaines recettes permettent de confectionner des pim's magnifiques, dignes de figurer en vitrines de pâtisserie. Mais la recette que je vous propose ne suppose pas d'avoir un tour de main exceptionnel, juste d'être gourmand ! Je vous explique tout. Ingrédients pour 16 pim's 2 oeufs 50 g de sucre 1/2 sachet de sucre vanillé 40 g de fécule de maïs 20 g de farine 150 g de très bon chocolat noir (moi j'ai pris 100g de valrhona à 66% et 50g à 77%) confiture (au choix. Moi j'utilise soit de la framboise soit de l'abricot) Progression Commencer par confectionner la génoise. Séparer les blancs des jaunes. Verser les sucres dans les jaunes. Fouetter vivement les jaunes avec le sucre (et le sucre vanillé) pour les blanchir. Ajouter la farine et la maïzena et mélanger à nouveau. Monter les blancs en neige très fermes avec une pincée de sel. Ajouter les blancs aux jaunes. Mélanger délicatement. Préchauffer le four à 190° chaleur tournante. A ce stade, l'idéal est d'avoir un moule en silicone spécial pour réaliser ces petits gâteaux, (Sinon on peut étaler la génoise sur une plaque puis, une fois cuite, tailler les gâteaux à l'emporte pièce, mais ce sera moins joli...) Beurrer les cavités du moule, puis déposer dans chacune l'équivalent d'une cuillère à soupe de pâte à génoise. Mettre au four environ 8 minutes. Lorsque la pâte a blondi, c'est prêt. Sortir et démouler les gâteaux. Les laisser refroidir sur une grille et procéder à la fournée suivante. Quand ils sont bien refroidis (c'est rapide!), disposer l'équivalent d'une cuillère à café de votre confiture préférée sur chaque gâteau et étaler avec le dos de la cuillère en laissant quelques millimètres sans confiture sur le pourtour. Les Jaffa originaux sont avec de la confiture d'orange, nous préférerons les garnie de confiture de framboises ou d'abricots ;) Faire fondre au bain marie le chocolat (ou directement à feu très doux sur une plaque à induction). Seul moment un peu délicat : recouvrir les petits gâteaux de chocolat. L'idéal est de le faire avec une poche à douille. Pauline, ma belle-fille, pâtissière, m'est venue en aide. Elle a commencé par le centre puis a garni l'ensemble en spirale. Sinon, avec une cuillère ça marche aussi... mais le résultat sera plus rustique ;) Il ne reste plus qu'à laisser le chocolat se figer. C'est prêt ! Mon conseil Ultra-frais, les pim's maison sont délicieux, mais 24h voire 48h après, nous les avons trouvés encore meilleurs; un peu plus secs et craquants, en un mot encore plus ressemblant aux pim's de Lu mais tellement plus savoureux.

  • Töltött paprika, les poivrons farcis hongrois de mon enfance

    Si je devais établir un palmarès des recettes hongroises de Maman qui me rendent le plus nostalgiques, il y aurait incontestablement, aux côtés du Dobos torta et du pörkölt de poulet, ses töltött paprika - poivrons farcis - à la sauce tomate. J'ai le souvenir prégnant de l'arôme qui embaumait sa cuisine lorsque les poivrons mijotaient lentement. Maman ne trouvait pas en France les fameux poivrons de Hongrie allongés et d'un jaune très pâle et elle utilisait de classiques poivrons verts. Moi je reproduis fidèlement sa recette avec des poivrons doux jaunes ou orange que l'on trouve ici. Il s'agit de la recette de MA Maman, celle que reproduisent aussi mes sœurs. Les poivrons cuisent d'abord à l'eau, puis cette eau, qui a un bon goût de poivron, sert à préparer la sauce tomate. S'il existe à la marge des variantes, comme celles qui préconisent de cuire directement les poivrons dans un jus de tomates, c'est évidemment la recette de Maman qui est la meilleure.. pour moi ;). Elle est simple, inratable et économique. Ingrédients pour 2 personnes 2 beaux poivrons jaunes 300 g de viande de porc haché 1 oeuf 1 petit oignon 30 g de riz 1 cs d'huile neutre, type tournesol sel poivre Pour la sauce 100 g de concentré de tomate 10 g de beurre 1 cs de farine 1 cc de sucre Progression Laver, sécher et évider les poivrons en gardant les chapeaux. Hacher l'oignon. Dans une poêle, faire revenir à feu doux l'oignon haché avec l'huile de tournesol. Lorsqu'il est translucide, ajouter le riz. Mouiller à peine à hauteur avec de l'eau, saler et laisser cuire la moitié du temps indiqué sur le paquet, donc environ 5 mn. Le riz terminera sa cuisson dans la farce. Laisser tiédir. Dans une jatte, mélanger la viande de porc haché avec le mélange riz/oignon, ajouter un oeuf, poivrer généreusement et malaxer. Farcir les poivrons avec une partie de ce mélange en prenant soin de ne pas remplir les légumes à ras bord car le riz va gonfler. Avec la farce restante, former de grosses boulettes. Mettre une bonne quantité d'eau salée à bouillir, déposer dans le fond les chapeaux des poivrons (ça donnera plus de goût en cuisson), puis y disposer les 2 poivrons ainsi que les boulettes. Couvrir et laisser cuire dans une eau frémissante pendant 30 minutes. Lorsque les poivrons et les boulettes sont cuites, éteindre le feu et réserver. Dans un faitout, préparer un roux, c'est-à-dire, mettre le beurre à fondre, jeter la farine et bien mélanger jusqu'à ce que la préparation prenne une belle coloration. Mouiller avec un peu de bouillon de cuisson des poivrons puis, tout en remuant sur feu moyen, ajouter le concentré de tomates. Mélanger en versant progressivement encore du bouillon jusqu'à l'obtention d'une sauce onctueuse, comme celle d'une blanquette, par exemple. Terminer avec une cuillère à café de sucre (voire deux suivant les goûts). Il ne reste plus qu'à transvaser les poivrons et les boulettes dans le faitout. C'est prêt ! Mon conseil Ce plat peut être servi immédiatement mais - comme la plupart des préparations en sauce - il se réchauffe très bien et est même meilleur le lendemain. C'est un plat familial, alors on apporte directement la cocotte sur la table !

  • Jarret de veau confit façon Jean-Pierre Vigato

    L'osso buco à l'italienne c'est diablement bon. C'est un de mes plats italiens favoris. Mais essayez le jarret de veau confit du Chef Jean-Pierre Vigato, car cette recette de chef vaut aussi le détour. Je l'ai suivi étape par étape, le résultat est un délice. Une viande fondante et savoureuse, d'une texture parfaite, accompagnée de légumes confits dans la sauce. Le bonheur. Le plus de la recette : la cuisson de la viande peut être réalisée la veille - c'est même conseillé par le chef, pour une finition rapide le jour J. Je vous explique tout. Ingrédients pour 3 à 4 personnes Un jarret de veau d'environ 1,5 à 1,8 kg Une branche de céleri Une carotte épluchée 1 oignon épluché garni de deux clous de girofle 1 navet 1 poireau 1 échalote 1 tomate un peu mûre beurre huile neutre sel, poivre 1 litre de bouillon de volaille (ou de l'eau) herbes fraîches pour la décoration (coriandre et cerfeuil pour le Chef, ciboulette pour moi) Progression Dans une cocotte, faire revenir le jarret avec un peu d'huile et une noix de beurre. Il faut qu'il soit bien coloré sur toutes les faces. Couper les légumes en gros morceaux et la ajouter dans la cocotte. Couvrir à hauteur du bouillon de volaille (ou à défaut d'eau) et porter à ébullition. Enfourner la cocotte avec son couvercle à 165° pendant 1h30. Puis ôter le couvercle et poursuivre la cuisson 45 mn. Cette première étape peut être réalisée la veille. Dans ce cas laisser la viande refroidir dans la cocotte au four, feu éteint. Le lendemain, réchauffer doucement le jarret. Le sortir de la cocotte, ainsi que les légumes. Filtrer le jus puis le faire réduire sur feu vif. Déposer le jarret sur un plat au four en mode grill. Lorsqu'il commence à griller, arroser régulièrement avec le jus afin de le glacer progressivement... jusqu'à obtenir une belle coloration (5 à 7 fois). Simultanément, réchauffer les légumes à feu doux. Cinq minutes avant la fin du glaçage, ajouter une noix de beurre dans le jus qui réduit dans la casserole. La sauce d'accompagnement est prête. C'est prêt ! Servir dans un plat le jarret entier entouré de ses légumes et présenter la sauce à part en saucière. Mon conseil Vous pouvez varier les légumes en fonction des saisons. Ce jour-là, j'ai ajouté 2 pommes de terre (cuites à l'eau à part). C'est évidemment facultatif :)

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