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  • 1993 - 2023 : pour ses 30 ans, la Hongrie-gourmande casse les prix

    Coup de projecteur sur la Hongrie gourmande qui fête ses 30 ans ! Et, pour l'occasion, le site offre une kyrielle de promotions jusqu'au 10 mai sur de délicieux et typiques produits hongrois. Une occasion à ne pas manquer ! C'est au printemps 1993 que son fondateur, Jozsef Csoka, installé à Strasbourg, a eu l'idée d'importer des produits d'origine hongroise. Il propose d'abord des vins et de l'artisanat, puis - lorsque la Hongrie a rejoint la Communauté européenne en 2004 - des produits d'épicerie typiquement magyars, à une clientèle de particuliers et de professionnels. Parcours atypique d'un passionné de cuisine, de vin et... d'économie Après un apprentissage de cuisine et l'école hôtelière en Hongrie, le jeune Jozsef Csoka poursuit des études d'économie à Budapest. La Hongrie est alors encore sous le joug de l'URSS. Avide de découvrir "comment marche l'économie réelle pour l'intégrer à (ses) idées", m'explique-t-il, il se rend en 1983 en France où Il y rencontre sa femme. A la recherche d'un travail, il apprend qu'il existe un restaurant hongrois à Strasbourg le Tisza (du nom d'un affluent du Danube) et y propose ses services. Ainsi peut-il se payer la poursuite de ses études. Inscrit à l'université de Strasbourg, il en sort avec un DEA d'économie et ne quitte plus la capitale alsacienne. Avec la chute de l'URSS, il est idéalement placé pour lancer son activité commerciale. Dans un premier temps, il propose aux particuliers, restaurateurs, traiteurs etc. des vins hongrois en se déplaçant de ville en ville au gré des salons et foires. Puis, évidemment, avec l'essor de l'internet, son activité se développe. Aujourd'hui, Jozsef Csoka, toujours aux commandes de son entreprise, propose et livre dans toute la France, outre ces charcuteries hongroises dont je raffole - salamis Pick, kolbasz etc. - une gamme très complète de vins hongrois, dont les fameux vins de Tokaj. Le vignoble hongrois, d'une grande diversité, produit de très grands vins. Cela n'avait pas échappé en son temps à Paul Brunet, seul sommelier doublement primé en France, devenu ami de Jozsef Csoka, qui avait fait l'éloge en 2004 des vins hongrois dans un ouvrage bible "le vin et les vins étrangers". Quelques articles sur les vins hongrois. https://avis-vin.lefigaro.fr/vins-du-monde/carnet-de-voyage/o132434-la-hongrie-bien-plus-que-des-grands-liquoreux https://visithungary.com/fr/article/10-vins-hongrois-emblematiques- https://www.routard.com/forums/t/tokaj-lun-des-meilleurs-vins-du-monde-a-2h30-de-budapest/224992 Adeptes des produits hongrois ou curieux d'y goûter, c'est le moment ! Je vous engage à faire un petit tour sur le site qui livre dans toute la France. Promotions jusqu'au 10 mai. La Hongrie Gourmande 4 Rue de Dunkerque, 67000 Strasbourg Téléphone : 03 88 21 06 06

  • Tejbegriz ou tejbedara, le dessert hongrois de semoule au lait délicieusement régressif

    Le tejbegriz (prononcer tèybègriz) ou tejbedara est le dessert de semoule au lait que tous les enfants hongrois ont dévoré à travers les générations. Simplissime, hyper rapide à préparer, plus qu'une recette hongroise, c'est un souvenir que je souhaite partager avec vous, tant sa réalisation est facile. Quel hongrois, ou d'origine hongroise n'a pas mangé ce dessert hongrois dans son enfance ! Et j'en connais qui, adultes, continuent de temps à autres à s'en régaler ;) Voici donc la recette de ma petite madeleine magyare. Ingrédients pour 2 personnes 50 cl de lait entier ou demi-écrémé (mais pas écrémé) 4 cs de semoule fine 2 cs de sucre en poudre (ou 1 cs de sucre blanc et 1 cs de sucre vanillé) Poudre de cacao ou cannelle moulue Progression Chauffer le lait dans une casserole jusqu'à ce qu'il arrive à petits frémissements. Y jeter les 4 cuillères à soupe de semoule et mélanger. Ajouter le sucre sans cesser de mélanger Laisser cuire à feu très doux 3 à 4 minutes, tout en continuant à mélanger jusqu'à ce que la préparation ait épaissi. Servir immédiatement dans des assiettes creuses. Le tejbegriz est prêt. Il se sert chaud, tiède ou même froid saupoudré de cacao. Certains préfèrent le déguster avec de la cannelle, avec de la confiture, voire nature. Maman râpait du chocolat dessus. A vous de voir ! Mon conseil On peut mettre plus ou moins de semoule pour une consistance plus ou moins épaisse, selon les goûts !

  • Daurade royale en portefeuille façon Hélène Darroze

    Voici une belle recette de la Cheffe Hélène Darroze : une daurade royale en portefeuille. C'est un régal de saveur, tout en finesse. C'est une recette facile et rapide à réaliser hormis, bien sûr, la découpe du poisson en portefeuille. Personnellement, je ne m'y suis jamais risquée car j'ai la chance d'avoir à côté de chez moi un excellent poissonnier qui réalise cette opération pour moi. Merci Christophe ;) Vous pouvez aussi réaliser cette recette à partir de deux filets de daurade (avec la peau), la présentation sera moins bluffante certes, mais le résultat gustatif sera le même. Et même avec d'autres poissons, bien sûr ! Une recette à la fois ultra légère et délicieuse que j'ai reproduite à quelques petits détails près. Je vous la recommande vivement. Nous nous sommes régalés. Ingrédients pour 2 personnes Une petite daurade royale 1 à 2 gousses d'ail (en fonction de leur taille) La peau d'une demi-tomate (la Cheffe préconise de l'écorce de piment d'Espelette, je n'en avais pas) 1 cébette Quelques feuilles de laurier huile d'olive Quelques gouttes de jus d'un citron (Hélène Darroze choisit du vinaigre de Xérès) Piment d'Espelette fleur de sel Pour la sauce vierge (Hélène Darroze propose une sauce Chimichurri très voisine) 2 cs d'huile d'olive 1/2 citron pressé La chair d'une tomate persil plat (frais si possible) sel, poivre Progression Préchauffer le four à 180°. Poser la daurade ouverte sur une plaque allant au four. Parsemer de fleur de sel. Débiter l'ail en très fines lamelles à l'aide d'un économe. Laver et peler la tomate. Réserver la chair pour la sauce vierge. Découper la peau en lamelles. Mettre à confire l'ail dans une huile d'olive frémissante. Puis ajouter les lamelles de peau de tomates. Lorsque l'ail a légèrement blondi, verser cette huile aillée encore chaude sur le poisson. Faute de peau de piment d'Espelette, je saupoudre le poisson de piment moulu. Ajouter les feuilles de laurier. Enfourner. Pendant la cuisson de la daurade, préparer la sauce vierge. Au bout de 10 à 15 minutes - cela dépend de la taille du poisson - la chair est nacrée, signe que la daurade est cuite. A la sortie du four, ajouter quelques gouttes de citron et la cébette ciselée. C'est prêt ! Présenter le plat tel quel aux convives pour un effet maximum, puis disposer dans chaque assiette un demi-filet de daurade. Moi j'ai choisi comme accompagnement quelques asperges blanches juste cuites à l'eau. Un peu de sauce vierge sur le poisson et les asperges et rien d'autre ! A déguster immédiatement !

  • Penne alla primavera : la recette végétarienne de pâtes du printemps

    Simplissime, voici une recette italienne végétarienne : des pâtes printanières. Une recette facile et rapide aux couleurs et aux saveurs du printemps. Un régal des yeux et des papilles. Ce primo piatto peut faire aussi office de plat unique. Dans ce cas, il suffit d’augmenter la portion de pâtes. Ingrédients pour 2 personnes 200 g de penne rigate (ou autres bien sûr) 3 courgettes 1 belle tasse de petits pois (frais en saison sinon surgelés c’est parfait) 1 gousse d’ail basilic (frais ou à défaut surgelé) 2 cs d’huile d’olive parmesan ou pecorino rapé Progression La seule "difficulté", si l’on peut dire, est de faire des spaghettis avec la peau des courgettes. Moi j’ai un économe spécial, vraiment génial, qui épluche directement en spaghettis. Mais il est tout aussi facile - juste un peu moins rapide - d’utiliser un économe classique pour éplucher les courgettes, puis de retailler les pelures dans la longueur. Une fois les spaghettis réalisés, les jeter 2 minutes dans une casserole d’eau bouillante salée, puis les débarrasser dans une jatte d’eau glacée, afin qu’ils restent bien verts. Procéder de la même façon avec la poignée de petits pois congelés en les plongeant dans l’eau bouillante environ 5 minutes. Débarrasser et réserver avec les spaghettis de courgettes. Cuisson des penne : dans une grande casserole, porter de l’eau salée à ébullition et, par pitié, ne jamais ajouter d’huile dans l'eau, ça ne sert à rien, c’est une hérésie pour les Italiens. Jeter les pâtes et faire cuire le temps indiqué sur le paquet. Pendant ce temps, dans une grande poêle, faire chauffer à feu modéré deux cuillères à soupe d’huile d’olive avec une gousse d’ail pelée, dégermée mais entière. Quand les pâtes sont cuites, les égoutter dans une passoire mais garder l’équivalent d’une cuillère à soupe de l’eau de cuisson et l’ajouter dans la poêle, ça permet une meilleure liaison. Oter l’ail et ajouter les penne ainsi que le mélange petits pois et courgettes. Augmenter le feu et remuer le tout pendant 30 secondes. Parsemer de basilic et mélanger délicatement une dernière fois. C’est prêt ! Il ne reste qu’à servir dans des assiettes creuses (chaudes de préférence) et à saupoudrer de parmesan (ou de pecorino). Mon conseil Ne surtout pas jeter les courgettes ayant servi à faire les spaghettis. Elles peuvent être cuisinées en purée ou en soupe de légumes par exemple.

  • Pâques : Souris d'agneau confites à l'ail et pommes de terre grenaille sautées

    Pas de fêtes de Pâques sans agneau ! Pour changer du gigot et de l'épaule, cap sur des souris d'agneau. La recette que je vous propose reste indiscutablement familiale et mes fils l'adorent. Elle est rapide à préparer, pas trop grasse et délicieusement parfumée. J'y ajoute juste trois petits trucs malins :) Ingrédients pour 2 personnes 2 souris d'agneau 6 petites pommes de terre grenaille (rattes, œil de perdrix...) 1 tête d'ail Un morceau de 3 cm de gingembre frais, c'est mon 1er truc 1/2 citron jaune, mon 2e truc 1 tomate, mon 3e truc 5 cl de vin blanc 1 cube de jus de rôti (facultatif) Thym, romarin, origan... au choix 10 g de beurre huile d'olive sel, poivre Progression Badigeonner les souris d'agneau d'huile d'olive, ajouter les herbes aromatiques (j'avais de l'origan frais), saler, poivrer et laisser mariner une trentaine de minutes (ou plus). Préchauffer le four à 160°. Dans une cocotte bien chaude faire dorer les souris sur toutes les faces. Mouiller avec le vin blanc (dans lequel on aura dilué le cas échéant un cube de jus de rôti. C'est facultatif, mais moi j'adore). Pour obtenir un bon jus gouteux et plein de peps, ajouter mes trois trucs malins : - un morceau de gingembre épluché; - une tomate épluchée, grossièrement coupée; - et un demi-citron coupé en deux quarts, non épluché. Dès que ça bout, stopper le feu et mettre la cocotte munie de son couvercle au four pour 2h à 2h30 (cela dépend de l'épaisseur des souris). Vérifier de temps en temps, la cuisson et arroser les souris. Une demi-heure avant la fin de la cuisson des souris, ajouter la moitié des gousses d'ail dans la cocotte et s'occuper des pommes de terre. Laver les pommes de terre et les éplucher mais les laisser entières. Dans une casserole, mettre à chauffer un peu d'huile d'olive et le beurre et y déposer les pommes de terre. Les faire rissoler sur toutes les faces puis baisser le feu, ajouter une branche de thym, les autres gousses d'ail et laisser cuire lentement à couvert en remuant de temps en temps. Lorsque les souris sont bien confites, les débarrasser le temps de finir de faire la sauce. Ôter le gingembre et les quarts de citron et filtrer le jus de cuisson dans une passoire puis remettre la sauce obtenue dans la cocotte. Vérifier l'assaisonnement. Il est possible d'ajouter une noix de beurre pour plus d'onctuosité, mais personnellement, je préfère éviter. Lorsque les pommes de terre sont fondantes c'est prêt ! Servir à l'assiette, une souris nappée de sauce, ajouter trois gousses d'ail confites et trois pommes de terre.

  • Pâques : Œufs servis à la hongroise sur des épinards mi-soupe mi-purée - spenótfőzelék

    Et si pour Pâques, vous dégustiez en entrée des œufs à la hongroise, sur un lit de purée d'épinards ! Dans certaines familles hongroises, ce plat était dégusté le Jeudi Saint : c'était le "zöld csütörtök", le "jeudi vert". Vous pourriez penser, à la lecture de cette recette, que ce sont de classiques épinards béchamel. Et bien pas tout à fait. Car la spécificité des épinards à la hongroise tient au fait qu'il s'agit d'une espèce de soupe épaisse. Et de fait, on les sert souvent dans une assiette creuse, surmontés d'un oeuf - au plat, mollet ou dur. Papa en raffolait. Mais dans la recette de Maman, les épinards avaient une consistance entre purée et soupe, et ils accompagnaient le plus souvent un rôti, de porc par exemple. Je vous propose donc la recette de Maman, moins liquide qu'une soupe mais bien davantage que les traditionnels épinards français à la crème. Pour 3 à 4 personnes 1,5 kg d'épinards frais 30 g de beurre 40 g de maïzena Environ 500 ml de lait 2 gousses d'ail noix de muscade râpée sel, poivre en accompagnement : un oeuf dur ou mollet par personnes Progression Equeuter et laver soigneusement les épinards. Dans une marmite d'eau bouillante salée, jeter les épinards et les laisser cuire à découvert 2 à 3 minutes maximum. Les égoutter, les laisser refroidir, puis les presser un peu et les passer au mixer. Les réserver le temps de préparer la béchamel. Faire une béchamel classique avec le beurre, la maïzena et le lait. Saler, poivrer et râper de la noix de muscade (moi j'en mets beaucoup, j'adore). Eteindre le feu et ajouter 2 gousses d'ail hachées. Mélanger les épinards hachés à la béchamel et réchauffer à feu doux. Le cas échéant, ajouter un peu de lait (ou de crème liquide) pour obtenir la texture souhaitée. C'est prêt ! Faire cuire les oeufs durs ou mollets, au choix, les écaler puis les couper en deux et les ajouter dans chaque assiette, sur le lit d'épinards ! Mon conseil Ne pas faire trop bouillir le mélange épinard-béchamel si vous voulez conserver la belle couleur verte.

  • La typique recette hongroise de soupe aux choux : káposztaleves

    La soupe aux choux hongroise - káposztaleves (prononcer kaposstààlèvèche) - se décline de différentes façons suivant les régions et les familles : le plus souvent avec de la viande de porc mais aussi sans, en recette végétarienne. Les épices varient aussi : avec ou sans carvi, aneth, etc. Elle peut aussi se cuisiner à la façon transylvanienne : erdély káposztaleves, qui se rapproche de ma recette. Bref, chaque famille a la sienne qui est forcément... la meilleure ;) Ingrédients pour 4 personnes 1 chou vert lisse ou frisé 1 oignon 1 grosse carotte Un morceau de lard coupé en lardons Un morceau de saucisson hongrois (à défaut du chorizo) piquant ou pas selon les goûts 2 cs de crème fraiche 1 cc de farine de maïs 1 cc de carvi 1 cs de paprika 1 cs d'huile neutre sel poivre Progression Couper le lard en lardons et le saucisson en rondelles. Eplucher et émincer grossièrement l'oignon. Laver, éplucher et couper la carotte en rondelle d'un demi cm. Laver et découper le chou en lanières de taille moyenne. Dans une large cocotte, faire revenir l'oignon et les lardons avec l'huile sans coloration. Hors du feu (le paprika ne doit jamais brûler) ajouter les rondelles de carottes, le carvi, le paprika et mouiller avec de l'eau à hauteur. Laisser cuire 3 à 4 minutes. Puis ajouter les rondelles de saucisson et le chou. Remettre de l'eau à niveau du chou. Porter à petite ébullition. Couvrir et laisser cuire à feu doux environ 20 minutes, en remuant de temps en temps. Pendant ce temps, dans un petit bol, verser la crème fraiche et la mélanger avec la farine de maïs. Réserver. Lorsque le chou est bien cuit, façon pörkölt, ajouter une poignée d'aneth ciselée (fraîche ou congelée), remuer et rectifier l'assaisonnement en sel et poivre. Prélever une demi-louche du liquide de la soupe et le verser dans le bol de crème pour délayer l'ensemble. Reverser ensuite le tout dans la soupe et laisser cuire une à deux minutes pour épaissir, comme pour terminer un paprikas. C'est prêt ! Servir dans des assiettes creuses préalablement chauffées si possible. Mon conseil Cette soupe est encore meilleure réchauffée. Certaines recettes proposent des morceaux de porc plutôt que ma version lardons, saucisson. Il est tout à fait possible de ne pas ajouter le mélange crème-farine de maïs pour un résultat plus liquide certes mais aussi plus léger. Enfin, les Hongrois aiment bien servir cette soupe avec de grosses tranches de pain de campagne... A vous de voir ;)

  • Choux de Bruxelles braisés aigre-doux aux pignons et raisins secs

    Voici une recette originale pour cuisiner les choux de Bruxelles différemment de leur sempiternel accompagnement de lardons. Avec une saveur légèrement aigre-douce et un peu de croquant, on obtient un plat d'accompagnement simple, sain et facile à associer avec une viande ou un poisson, ou à consommer bien sûr tel quel en plat végétarien. Voici son secret. Ingrédients pour 2 personnes 500 g de choux de Bruxelles L'équivalent d'une cuillère à soupe de pignons L'équivalent d'une cuillère à soupe de raisins secs huile d'olive aneth (facultatif) sel poivre Progression Nettoyer les choux de Bruxelles en ôtant la base et les premières feuilles, si elles sont abîmées. Les laver puis couper éventuellement les plus gros choux en deux. Porter une casserole d'eau salée à ébullition et y plonger les choux pendant environ 5 minutes. Ils doivent être seulement blanchis, c'est-à-dire mi-cuits car leur cuisson se terminera à la poêle. Egoutter et, si possible, les verser quelques secondes dans une jatte d'eau glacée, afin qu'ils conservent leur jolie teinte vert clair. Egoutter à nouveau. Dans une petite poêle, torréfier 1 minute les pignons. Dans une sauteuse, chauffer l'huile d'olive puis y déposer les choux de Bruxelles, poivrer et mélanger pour bien les enrober de matière grasse. Couvrir et poursuivre la cuisson encore environ cinq minutes (cela dépend de la taille des choux). Vérifier que les choux soient bien tendres avec la pointe d'un couteau puis ajouter les raisins secs et les pignons. Mélanger l'ensemble à feu très doux. Rectifier l'assaisonnement et ajouter un peu d'aneth frais ou surgelé (c'est facultatif, mais moi j'adore). C'est prêt ! Mon conseil J'aime beaucoup associer cette recette de choux de Bruxelles avec un poisson. Mais elle accompagne aussi les volailles et les viandes, bien sûr.

  • Risotto al telefono

    Le "risotto au téléphone", curieux nom pour cette recette typiquement italienne. L'explication est toute visuelle : lorsque le risotto est terminé, les fils du fromage fondu s'étirent tels... les fils du téléphone (enfin des téléphones d'antan, bien sûr). Une vraie recette du placard, toute simple, que j'adore. Une recette végétarienne qui a tout bon ! Ingrédients pour 4 personnes 320 g de riz à risotto (carnaroli pour moi) 1 échalote 200 g de coulis de tomates (en bouteille ou bocal) 120 de mozzarella ferme (type à pizza) ou de scamorza nature ou fumé 1,5 l de bouillon de légumes ou de volaille (fait maison ou en cube) 1 cs d'huile d'olive sel, poivre marjolaine (si possible) parmesan râpé Progression Faire revenir sans coloration l'échalote finement ciselée avec l'huile d'olive dans une casserole. Ajouter le riz et mélanger deux à trois minutes jusqu'à ce que les grains deviennent translucides. Ajouter alors le coulis de tomates, mélanger à nouveau, puis commencer le risotto. Le secret du risotto est simple : il faut prendre son temps. Mouiller le riz à hauteur avec une louche de bouillon bien chaud, remuer sans cesse jusqu'à absorption du liquide puis recommencer encore et encore. Au bout d'environ 18 à 20 mn, tout le bouillon aura été versé progressivement et le riz gonflé sera presque cuit. Ajouter alors le fromage coupé en petits cubes d'1 cm et mélanger à nouveau énergiquement. Il se formera petit à petit... les fils du téléphone, signe que le risotto est prêt. Parsemer de feuilles de marjolaine fraîches, si possible (je n'en avais pas). Servir bien chaud avec une touche de parmesan râpé. Mon conseil Le site de Giallo Zafferano d'où j'ai tiré la recette, indique que le risotto se conserve 3 à 4 jours au frigo. Personnellement, je le déconseille : un risotto se déguste à la minute. Toutefois, s'il en reste, on peut évidemment le réchauffer le lendemain, de préférence au micro-ondes, pour éviter qu'il ne se dessèche.

  • Salade tiède de lotte au paprika : la recette saine et légère aux saveurs de Hongrie

    Vous trouverez plusieurs recettes de lotte sur mon blog car j'adore cuisiner ce poisson à la chair savoureuse. Certes il est plutôt cher, mais hormis l'os central, il n'y a pas d'arêtes donc pas de déchet. De plus, même ceux qui ne sont pas fans de poisson, comme certains enfants, apprécient généralement la lotte pour sa chair blanche et ferme. Voici donc une nouvelle recette aux saveurs hongroises - le paprika ;) - avec ce délicieux poisson. C'est une recette saine et légère, rapide et facile à réaliser. Elle peut aussi bien être servie en plat au déjeuner, qu'en entrée (en réduisant alors les proportions). Ingrédients pour 2 personnes 400 g de lotte (une fois l'os central ôté) 2 belles poignées de mesclun Quelques olives violettes (idéalement de kalamata) 1/2 oignon rouge huile d'olive 2 cs de jus de citron poivre (de Timut si possible) paprika en poudre sel Progression Laver et essorer la salade et la réserver. Couper la lotte en tronçons de 4 cm environ. Les saler. Préchauffer le four à 80°. Dans une poêle, chauffer à feu plutôt vif une cuillère à soupe d'huile d'olive et y déposer les morceaux de lotte. Les retourner au bout de 2 mn et poursuivre la cuisson encore 2 mn. Il faut que la lotte soit saisie et très légèrement blondie mais il ne faut surtout pas la cuire trop longtemps sinon elle devient caoutchouteuse. Poivrer généreusement, si possible avec du poivre de Timut au parfum citronné. Débarrasser la lotte sur un plat tapissé d'essuie-tout, afin que l'eau qui sera lâchée par la lotte soit absorbée. Parsemer de paprika puis maintenir le poisson au chaud au four. Réserver la poêle qui a servi à la cuisson du poisson. Eplucher et émincer en fines rouelles l'oignon rouge. Si possible, dénoyauter les olives. Faire une petite émulsion avec 1 cs de jus de citron, du sel et un peu d'huile d'olive, la verser dans la salade et mélanger. Dresser cette salade dans les assiettes, ajouter les rouelles d'oignon et les olives. Au moment de servir, réchauffer la poêle ayant servi à cuire la lotte et déglacer les sucs avec une autre cuillère à soupe de citron pour obtenir un délicieux. Sortir les morceaux de lotte du four et les déposer sur les assiettes garnies de la salade puis verser délicatement le jus parfumé de la poêle sur le poisson. C'est prêt ! A déguster immédiatement.

  • Cordon bleu di zucca - butternut façon cordon bleu

    Cette petite recette italienne est toute nouvelle pour moi. Trouvée sur le site Giallo Zafferano elle m'a tentée. Je l'ai essayée tout récemment, nous l'avons beaucoup aimé, donc je la partage. Surprenant d'ailleurs qu'elle soit italienne avec le nom très français de "cordon bleu", mais c'est ainsi. Deux tranches de butternut fourrées de jambon blanc et de fromage fondant et panées. Un délice. Facile à faire, cette recette économique ne peut que ravir petits et grands. Sans jambon, ce cordon bleu régalera les végétariens. Ingrédients pour 2 personnes 1 butternut moyen 125 g de scamorza fumé ou provolone ou mozzarella 2 à 3 tranches fines de jambon blanc 2 à 3 oeufs (suivant grosseur) 150 g environ de chapelure herbes de Provence sel et poivre huile neutre (tournesol, pépins de raisin, isio 4...) Progression Eplucher le butternut et débiter la partie sans graine en tranches d'environ 1/2 cm. (Garder le reste de la courge pour un potage de légumes par exemple). Battre les œufs en omelette. Saler et poivrer. Mélanger dans une assiette creuse la chapelure et les herbes de Provence. Débiter le fromage en fines tranches. Confectionner les cordons bleus en disposant un peu de jambon, du fromage entre deux tranches. En serrant fermement le cordon bleu, le passer dans le jaune d'oeuf, en ayant soin d'en mettre aussi sur les côtés, puis dans la chapelure. Renouveler l'opération : jaune d'oeuf puis chapelure. Pour finir, tasser la chapelure avec la paume de la main afin qu'elle adhère bien, y compris sur les côtés. Mettre à chauffer dans une grande poêle environ 2 cm d'huile. Lorsqu'elle est bien chaude, y déposer les cordons bleus. Laisser cuire sans les toucher 3 mn, puis retourner à l'aide d'une spatule et poursuivre encore 3 mn de l'autre côté. Pendant ce temps - facultatif mais préférable pour que les cordons bleus ne soient pas trop gras - préchauffer le four à 100°. Débarrasser les cordons bleus sur un plat allant au four garni de papier absorbant, et laisser reposer au chaud environ 5 mn (ou plus). C'est prêt ! Servir bien chaud avec une salade. Mon conseil Les cordons bleus peuvent attendre à four tiède un quart d'heure, ils n'en seront que plus croustillants, mais pas au-delà, ils se dessècheraient.

  • Escalope de veau à la crème et au paprika de Maman

    Quand Maman cuisinait les escalopes de veau à la crème, recette bien française, elle y ajoutait sa touche hongroise, le paprika. Cela donnait un plat délicieusement bon et si joliment coloré. Voilà donc sa recette, rapide et simple à réaliser. Ingrédients pour 2/3 personnes 6 petites escalopes bien aplaties (ou 3 coupées en deux) 2 cs de paprika 15 cl de vin blanc 100 g de crème fraîche 25 g de beurre + 1 cc d’huile neutre (type tournesol) sel et poivre Progression Taper les escalopes avec un aplatisseur ou à défaut avec le dos d’une louche, afin qu’elles soient bien fines. Faire fondre le beurre (et la cuillère à café d’huile pour éviter que le beurre ne brûle) dans une poêle bien chaude, et y faire saisir les escalopes. Attention, puisqu’elles sont fines, elles doivent êtres saisies en une ou deux minutes maximum de chaque côté. Saler et poivrer. Les réserver sur une assiette puis déglacer la poêle avec le vin blanc. Gratter avec une cuillère en bois pour décoller les sucs de la viande, ajouter le paprika et mélanger. Ajouter ensuite la crème fraîche et mélanger à nouveau sans laisser bouillir pour obtenir cette couleur moka, caractéristique d’une sauce crémée ou le paprika et le jus de viande s’unissent. Dernière étape : remettre les escalopes dans la poêle, à feu très doux, et les napper de sauce. Rectifier l’assaisonnement si nécessaire. C’est prêt ! Maman les servait avec du riz blanc ou éventuellement des pâtes. Personnellement, je préfère – caloriquement parlant – les accompagner de légumes verts ou d’une poêlée de champignons de Paris.

T&T tradition transmission
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