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274 éléments trouvés pour «  »

  • Beignets de fleurs de courgette à la mozzarella

    Plat d'été par excellence, je vous propose une petite entrée italienne végétarienne divine : i fiori di zucca fritte in pastella, des beignets de fleurs de courgette farcies de scamorza ou mozzarella. Recette italienne facile et rapide, que j'ai dénichée sur le site de graziella et rafaele, je la recommande vivement car elle est aussi simple à réaliser que délicieuse à déguster. J'y ai ajouté une petite sauce tomate, ma fameuse sauce ketchup maison, mais ce n'est pas obligatoire. Nous nous sommes régalés de ces fleurs juste accompagnées d'une salade pour déjeuner, mais ces beignets peuvent aussi être servis en entrée, voire en antipasti. Ingrédients pour 2 personnes (en plat principal) ou pour 4 (en entrée) 8 fleurs de courgette 150 g de farine 250 ml d'eau gazeuse très froide 2 ou 3 glaçons 8 morceaux d'environ 3 cm de scamorza ou de mozzarella sèche 1/2 l d'huile neutre (tournesol, arachide...) sel Progression Dans une jatte, verser la farine, une pincée de sel et l'eau gazeuse. Mélanger. Ajouter 2 ou 3 glaçons et réserver au frigo au moins 20 mn (mais la préparation peut attendre plusieurs heures, c'est bien pratique). Laver et essuyer délicatement les fleurs de courgette. Ecarter les pétales et ôter le pistil. Découper les morceaux de fromage puis en garnir le cœur de chaque fleur. Refermer avec précaution les pétales en tournant les extrémités sur elles-mêmes. Mettre l'huile à chauffer dans une poêle à fond épais. Lorsqu'elle est bien chaude, tremper les fleurs dans la pâte à beignets puis les déposer immédiatement dans l'huile. Au bout d'une minute environ, dès que les fleurs commencent à colorer, les retourner et poursuivre la cuisson une autre minute. Débarrasser les beignets sur un plat recouvert de papier absorbant pour éponger l'excédent de graisse. C'est prêt ! Ce plat peut attendre quelques minutes dans un four chauffé à 80°, ou être servi immédiatement. A déguster tel quel ou avec une petite sauce tomate, un régal !

  • Champignons à la grecque du Chef Emmanuel Renaut

    Les champignons à la grecque, tout le monde connait. C'est une entrée estivale à savourer sans modération. Mais pour une recette parfaite, il faut un Grand chef ! Parmi les nombreuses recettes, revisitées ou pas, de ce plat délicieusement frais et parfumé, j'ai choisi celle du Chef Emmanuel Renaut. Simple et savoureuse, cette recette de chef est idéale en été. Le truc du chef est de mélanger les champignons de Paris bouton et des champignons sauvages. Je dois avouer que je l'ai réalisée avec les seuls champignons de Paris, c'était déjà un régal. Une recette végétarienne, facile, simple et rapide. Une entrée inratable qui peut se préparer la veille. C'est même encore meilleur ;) Ingrédients pour 4 personnes 400 g de champignons de Paris (ou 200g + 200 g de champignons sauvages) 20 g d'oignon 1 citron jaune 150 g de vin blanc 100 g d'eau 10 g de sucre huile d'olive 1 feuille de laurier 2 branches de thym (le Chef met de la sarriette) coriandre fraîche (ou surgelée) persil 20 g de concentré de tomates sel et poivre Progression Nettoyer les champignons et couper les plus gros de façon à obtenir des morceaux de même taille. Eplucher, ciseler et faire revenir l'oignon quelques minutes dans l'huile d'olive sans coloration. Ajouter le vin blanc, l'eau, le thym, le laurier, saler et poivrer. Lorsque le tout frémit, ajouter le concentré de tomate et le sucre. Mélanger et laisser le jus réduire. Pendant ce temps, chauffer une sauteuse avec un filet d'huile d'olive, y jeter les champignons avec un peu de jus de citron et deux cs d'eau et laisser cuire à couvert quelques minutes. Si vous avez des champignons sauvages, les faire sauter d'abord à part, puis les ajouter aux champignons de Paris déjà cuits. Ôter le thym et la feuille de laurier du jus réduit, y ajouter les champignons, rectifier l'assaisonnement et réserver au frigo. Au moment de servir, parsemer de coriandre et persil ciselé. c'est prêt ! Mon conseil Conseil du Chef : attention à ne pas trop cuire les champignons pour conserver de la mâche.

  • Soupe froide de griottes, meggyleves, une recette hongroise typique

    La meggyleves, soupe de cerises griottes, est une typique recette hongroise qui se déguste très froide. Aussi loin que je puisse remonter dans mon enfance, Maman la préparait chaque année en saison, le plus souvent en dessert. Mais elle se déguste aussi en entrée ou en plat lorsqu'il fait chaud. Rafraichissante, légère, savoureuse, nous l'adorions. Il y a de multiples variantes pour la réaliser et j'ai décidé de m'en tenir à celle de ma chère Maman : des cerises, de l'eau, du sucre, des épices et juste un soupçon de crème fraîche au dernier moment dans l'assiette de chacun. Mais bien souvent les Hongrois y ajoutent du vin, voire d'autres alcools et l'épaississent avec un peu de farine ou des œufs. Bref, comme souvent, il y a presqu'autant de recettes de meggyleves (prononcer mèdylèvèch') que de famille. Et c'est tant mieux : le principal est de retrouver la saveur d'antan. Ingrédients pour 3 à 4 personnes 600 g de cerises griottes dénoyautées 600 g d'eau 100 g de sucre semoule 1 bâton de cannelle 3 clous de girofle Le jus d'un demi citron jaune un pot de crème fraiche Progression Maman achetait des cerises griottes fraîches en saison et les dénoyautait consciencieusement une par une. Je dois dire que j'utilise des cerises griottes congelées, déjà dénoyautées :). Déposer les cerises dénoyautées dans une casserole, ajouter un bâton de cannelle et les clous de girofle (je les glisse dans un sachet à infusion c'est bien pratique lorsqu'il faut les retirer). Verser le sucre, le jus de citron et mouiller avec l'eau. Porter à ébullition lente. S'agissant de cerises décongelées, la cuisson est très rapide, compter 4 à 5 minutes, le double pour des cerises fraîches. C'est presque prêt. Retirer la cannelle et le sachet. Il ne reste plus qu'à mixer le tout. Lorsqu'elle est bien mixée, laisser la soupe refroidir au frigo. Maman la présentait en soupière telle quelle, bien rouge, et proposait à côté une bonne crème fraîche - crue de préférence, c'est meilleur. Ainsi chacun peut mettre la quantité de crème souhaitée. Petites filles, ma sœur et moi adorions dessiner avec l'extrémité de notre cuillère des vaguelettes blanches à partir de la crème tout en la mélangeant à la soupe. Souvenir, souvenir et petit clin d'œil au passé... Mon conseil Pour un accompagnement plus gourmand, on peut remplacer la crème par de la chantilly. On peut aussi conserver quelques griottes non mixées et les ajouter en décoration dans la soupière... mais Papa préférait cette soupe sans morceaux ;)

  • Grillotins de ris de veau aux navets de Jérôme Gangneux : une recette inratable de chef

    Le ris de veau, ce morceau si délicat, est une pièce de choix. Assez cher, il faut bien l'avouer, mais si délicieux! Alors quitte à s'offrir de temps en temps un produit de grande qualité il faut s'assurer de réussir à le cuisiner. Avec cette recette du chef Jérôme Gangneux vraiment facile, c'est garanti. Une recette simple, rapide et savoureuse pour un repas de fêtes ou un diner en amoureux ! Ingrédients pour 2 personnes 1 pomme de ris de veau (environ 400 g) 1/4 l de cidre 1 petit verre de calvados (facultatif, ma touche perso!) Quelques navets nouveaux (le Chef utilise des boules d'or, je n'en avais pas) 2 cs de farine beurre huile neutre sel, poivre persil Progression Parer le ris de veau, c'est-à-dire le blanchir puis l'éplucher. Mes explications en photos ici . Eplucher les navets, les couper en gros dès puis les mettre à mousser dans une poêle avec du beurre. Saler. Déglacer au calvados (facultatif). Mouiller ensuite à mi-hauteur avec du cidre et laisser cuire à feu doux. Lorsque les navets sont cuits, réserver. Escaloper les ris de veau et les passer dans la farine. Tapoter l'excédent. Poêler les tranches de ris de veau dans un mélange de beurre et d'huile neutre. Attention à ne pas les retourner trop tôt afin d'obtenir des tranches grillées bien croustillantes. Il faut compter environ 5 minutes de chaque côté. Disposer les grillotins de ris de veau dans des assiettes préalablement chauffées. Faire réduire le fond de jus de cuisson des navets en ajoutant une noix de beurre pour obtenir une légère caramélisation. En napper les ris de veau et les navets. Parsemer d'un peu de persil. C'est prêt !

  • Purée de pois cassés à la hongroise - felesborsó fözelék

    Les Hongrois cuisent beaucoup de légumes sous forme de ragoût appelé "fözelék". Je vous ai déjà donné la recette de haricots beurre. Voici à présent la fameuse purée de pois cassés (felesborsó = demi-pois). Maman la présentait soit avec des oignons frits et du paprika, soit avec des rondelles de saucisson hongrois -le kolbasz- grillées. Je préfère la deuxième option. C'est un plat très simple, facile, économique et... nourrissant. Sans saucisson, le plat fera aussi le régal des végétariens. Ingrédients pour 2 personnes 200 g de pois cassés 3 à 5 cl de lait (ou de bouillon de cuisson) bouquet garni (1 feuille de laurier, thym, queue de persil) sel et poivre 10 cm de saucisson hongrois kolbasz piquant ou non (à défaut du chorizo) Progression Rincer et faire tremper les pois cassés au moins une heure dans de l'eau froide. Cuire les pois cassés le temps préconisé sur le paquet. Départ eau froide avec un bouquet garni et sans saler. Moi je glisse les herbes dans des sachets à infusion, c'est bien pratique. Lorsque les pois cassés sont bien cuits, les mixer avec un mixeur plongeur directement dans la casserole. Détendre la purée soit avec du bouillon de cuisson, soit avec un peu de lait. Personnellement, je préfère le lait qui adoucit la purée. Il faut obtenir une texture de purée pas trop compacte, presque comme une soupe épaisse. On peut ajouter une noisette de beurre. Saler, poivrer et réserver. Couper des rondelles de saucisson, les débiter en gros morceaux et les griller à feu moyen dans une poêle sans ajout de matière grasse car le saucisson lâche suffisamment de gras. C'est prêt ! Servir la purée dans des assiettes creuses préalablement chauffées et décorer avec le saucisson et quelques gouttes du jus rouge gorgé de paprika.

  • Gâteau au chocolat de Maman à la poudre d’amande (sans beurre ni farine)

    C'était LE gâteau au chocolat de Maman. Un gâteau au chocolat sans farine ni beurre, délicieusement bon et aussi enfantin que rapide à confectionner : idéal comme dessert rapide pour la fête des Mères. Pas besoin de balance, juste du bon chocolat, des œufs, du sucre et de la poudre d’amande. Aujourd’hui, moi aussi je fais très souvent ce gâteau. L’essayer c’est l’adopter… Ingrédients pour 6 personnes 6 œufs 220 g de très bon chocolat noir (Valrhona si possible) 6 cs bombées de poudre d’amande (équivalent à 100 g) 6 cs rases de sucre en poudre (environ 80 g) 1 pincée de sel Progression Séparer les blancs d’œufs des jaunes. Faire fondre le chocolat dans une casserole à feu très doux, ou au bain marie. Mélanger les jaunes avec le sucre, puis ajouter la poudre d’amande. Verser le chocolat fondu sur la préparation et mélanger délicatement. Préchauffer le four à 180° Monter les blancs en neige très fermes avec une pincée de sel. Réunir les blancs montés et la préparation chocolatée puis verser le tout dans un moule. Mettre au four pendant 15 minutes. Vérifier la cuisson avec une pointe de couteau. Contrairement à de nombreuses recettes, elle ne doit pas ressortir sèche mais avec un peu de mousse de gâteau. Eteindre le four et y laisser le gâteau encore 2 minutes, puis le sortir et le laisser refroidir. Une fois refroidi, le démouler. Il est prêt à être dégusté. Maman le découpait traditionnellement en rectangles. Moi je le sers le plus souvent en parts, avec une boule de glace à la vanille ou au café ou avec de la chantilly maison pour les plus gourmands. Mais franchement, il se suffit à lui-même, tel quel ! Mon conseil Un jour que j'étais en panne de poudre d'amandes, j'ai réalisé ce même gâteau avec des noisettes torréfiées à la poêle puis moulues. Ce fut aussi délicieux quoiqu'un peu plus dense. A essayer également si ça vous tente...

  • Vitello tonnato, veau sauce au thon, typique plat piémontais

    Idée fêtes des Mères: le vitello tonnato, un plat italien familial qui se prépare la veille (bien pratique pour ne pas être dans la cuisine au dernier moment !) et se déguste froid. Surprenante au premier abord - du veau avec une sauce au thon ! - cette recette italienne est à la fois légère, parfumée et un grand classique de la cuisine piémontaise. Je ne l'ai pas tout de suite cuisinée moi-même, car je craignais de rater la sauce. Pourtant, c'est un jeu d'enfant. A présent, je réalise souvent ce plat, que les Italiens aiment servir en antipasto. Moi je le sers en plat principal. Il est inratable et du meilleur effet ! Ingrédients pour 6 personnes 800 g de rôti de veau, sans barde, dans le quasi ou la noix, par exemple 1 carotte 1 branche de céleri 1 oignon 1 gousse d'ail 1 feuille de laurier quelques grains de poivre noir 25 cl de vin blanc 1,5 l d'eau 3 cs d'huile d'olive 2 oeufs 130 g de thon à l'huile de qualité 3 filets d'anchois à l'huile 10 g de câpres Quelques fleurs de câpres le jus d1 citron sel, poivre Progression Mettre le rôti dans un grand faitout. Y ajouter la carotte, la branche de céleri et l'oignon, épluchés et débités en gros tronçons, la feuille de laurier, l'ail et le poivre en grains. Mouiller avec le vin blanc puis l'eau. Verser les 3 cs d'huile d'olive, ajouter le sel et mettre sur le feu. A ébullition, écumer si besoin, puis couvrir et laisser cuire à petit feu pendant 45 minutes. Idéalement, si on possède un thermomètre à viande, arrêter la cuisson lorsque la température atteint 65°. Attention à ne pas trop cuire le veau qui doit rester tendre avec le cœur légèrement rosé. Une fois cuit, sortir la viande du bouillon et la laisser refroidir. A ce stade, le rôti peut rester au frigo, recouvert d'un film alimentaire jusqu'au lendemain si besoin. Mais il peut aussi évidemment être servi le jour même. Pour la sauce hyper légère Retirer la carotte, le céleri et l'oignon du bouillon et les réserver. Filtrer le bouillon, en récupérer un tiers et le faire réduire de moitié. Faire cuire les deux œufs durs. Mixer les légumes - carotte, céleri et oignon - avec les œufs durs et un peu de bouillon réduit. Puis ajouter le thon égoutté, les anchois, les câpres, le jus de citron et une autre louche du bouillon réduit si nécessaire. Il faut obtenir une texture de moutarde. Rectifier l'assaisonnement. La sauce, prête, peut aussi attendre, recouverte de film alimentaire, jusqu'au lendemain. Au moment de servir, couper le veau en tranches très très fines - avec un couteau électrique si on en possède un, ce sera parfait - et les disposer sur le plat de service. Déposer au centre la sauce au thon et décorer avec des fleurs de câpres. C'est prêt. Mon conseil Il existe des variantes pour la sauce au thon, dont une qui préconise de faire une base de mayonnaise avant d'ajouter le thon et les anchois, mais sans les légumes cuits. Personnellement je préfère incontestablement la sauce légère aux légumes, mais évidemment c'est affaire de goût !

  • Paprikás de veau au riz - Rizses hús

    Dans la famille des pörkölt et paprikas, un de nos préférés est le rizses hús, littéralement "viande au riz" . Maman le cuisinait souvent avec du veau ou du porc. Cela reste une des recettes favorites de mes fils, neveu et nièce car de fait tous les enfants adorent ce plat. Recette hongroise facile, rapide et économique, elle est inratable. Une recette traditionnelle qui se réchauffe très bien. Bref, une recette typique magyare qui a tout bon ! Ingrédients pour 2 personnes 150 g de riz blanc classique 200 g de veau (dans l’épaule par exemple). Mais on peut également choisir du porc ou 2 blancs de poulet 1 oignon 1 cs de paprika doux « édes » (fabriqué en Hongrie de préférence) ou moitié-moitié avec du paprika fort « csipös »… si on aime 1 grosse tomate pelée et épépinée (ou à défaut 1/2 cc de concentré de tomates + 1 cs d’eau) 1 petit verre de vin blanc (bon, ça c’était le truc de Maman) ou 1 verre d'eau huile neutre type tournesol (à l'origine la cuisine hongroise était au saindoux mais même Maman l'avait abandonné) sel Progression Le début de la recette est la même que pour un pörkölt ou un paprikás. Faire revenir l'oignon finement haché dans de l'huile, puis saupoudrer de paprika. Ajouter ensuite la viande coupée en morceaux, mais plus petits que pour le pörkölt ou le paprikás. Saler, laisser revenir à feu doux puis mouiller avec le vin blanc et laisser évaporer l'alcool. C'est à ce moment qu'il faut ajouter le riz et mélanger. Mouiller ensuite avec de l'eau à hauteur de la viande et laisser cuire jusqu'à absorption du liquide, en continuant à mélanger de temps en temps. Lorsque le liquide est absorbé, donc au bout d'une dizaine de minutes environ, c'est prêt ! Servir bien chaud, dans des assiettes creuses comme pour un risotto italien, par exemple.

  • Hamburger et ketchup maison à la française

    Certes, le hamburger juteux niché dans un pain rond est plutôt américain. Mais tel que je le réalise, avec un ketchup maison et des sources d’inspiration aussi diverses que Thierry Marx, pour la cuisson du bacon, et Julie Andrieu pour le montage, il devient plutôt français. Le ketchup maison est simplissime et tellement meilleur que l’industriel. Quant au hamburger… n’essayez même pas de le comparer à ceux des fast-foods : il n’a rien à voir. A commencer par la qualité de la viande, évidemment ! Ingrédients pour 3 personnes Pour la sauce ketchup maison 250 g de pulpe de tomates (en conserve ou en bocal) 1 gousse d’ail 1 oignon doux 1 cc de quatre-épices 2 clous de girofle entier 50 g de cassonade 50 g de vinaigre balsamique 2 cs d’huile d’olive poivre du moulin et sel Pour les hamburgers 3 buns, de préférence achetés chez le boulanger 3 steaks hachés d’environ 150 à 180 g (il faut être gourmand !), de préférence achetés chez le boucher 6 tranches de bacon (lard fumé) 1 oignon rouge 3 cornichons Une poignée de salade verte Une grosse tomate Du fromage à fondre (je préconise le fromage italien scamorza fumée ou nature, plutôt que le cheddar) huile d’olive sel, poivre Progression Pour la sauce ketchup Eplucher l’oignon et l’ail et les réduire en purée au mixer. Dans une casserole, faire chauffer l’huile d’olive et y faire revenir sans coloration la purée d’oignon et d’ail. Ajouter les épices, le sucre et déglacer avec le vinaigre. Cuire encore 2 à 3 minutes. Verser la purée de tomates puis laisser cuire à feu doux environ 30 minutes. Passer au blender et laisser refroidir. Le ketchup est prêt. Pour les hamburgers Eplucher, laver et tailler en lamelles l’oignon rouge. Laver la salade, l’essorer et la couper grossièrement en chiffonnade. Couper les cornichons et la tomate en rondelles. Débiter le fromage en plusieurs tranches fines. Préchauffer le four à 150°. Dans une poêle, mettre à chauffer un peu d’huile d’olive puis y faire griller le bacon. Excellent truc de Thierry Marx : recouvrir le lard d’un couvercle (plus petit que le diamètre de la poêle). Cela permet de maintenir les tranches à plat, et évite aussi les projections de graisse. Débarrasser ensuite sur du papier absorbant. Dans la même poêle, faire cuire les hamburgers. Le temps de cuisson dépend des goûts de chacun, moi je les préfère rosés. Saler et poivrer généreusement. Ajouter ensuite sur le dessus des steaks les tranches de fromage et déposer au four 2 à 3 minutes, le temps que le fromage commence à fondre (mais sans gratiner !). Pendant ce temps, faire légèrement toaster les pains côté mie dans la même poêle qui a servi à cuire les steaks. Enfin vient le montage. Enduire la base du bun de sauce ketchup, puis ajouter les cornichons, la tomate et la salade (Super truc de Julie Andrieu : elle mélange d’abord la chiffonnade de salade avec un peu de sauce ketchup. Ainsi, la salade s’affaisse un peu et tient plus facilement dans le pain). Mettre ensuite les rondelles d’oignon et enfin le steak avec le fromage fondu. Terminer avec les tranches de bacon et encore un peu de salade. Badigeonner également l’intérieur du chapeau du bun de sauce ketchup avant de le placer sur le hamburger. C’est prêt ! Servir sans attendre. Mon conseil Servir le reste de sauce ketchup à part avec, par exemple, des potatoes, tellement simples à réaliser au four.

  • Artichauts à la romaine, carciofi alla romana, la recette emblématique de la capitale italienne

    On ne peut aller Rome sans goûter aux fameux carciofi alla romana, les artichauts à la romaine. Mais on peut évidemment connaître et apprécier cette super recette italienne sans avoir visiter la capitale transalpine ;). Pour ma part, j'ai eu la chance de me rendre plusieurs fois à Rome - on ne s'en lasse pas. Pas plus que je ne me lasse de déguster ces magnifiques artichauts. J'ai donc décidé d'en reproduire la recette. Les Romains proposent souvent ces artichauts comme antipasti ; je la sers en entrée. C'est une recette végétarienne facile et rapide, il faut juste savoir "tourner les artichauts", comme dans ma recette d'artichauts à la poêle. Mais ce n'est pas la fin du monde et le résultat est un régal. Elle se déguste tiède ou froide donc se prépare à l'avance. C'est commode ! Ingrédients pour 2 personnes 4 artichauts violets (ou poivrade) de taille moyenne, pas trop petits si possible 2 gousses d'ail 1 bouquet de menthe fraîche 1 bouquet de persil 10 cl de vin blanc huile d'olive sel et poivre citron (pour éviter l'oxydation) Progression Laver les artichauts. Préparer dans trois petits bols, le persil et la menthe lavés et ciselés, et les gousses d'ail écrasées. Dans un petit saladier mélanger de l'eau avec le jus d'un citron. Tourner les artichauts, c'est-à-dire, ôter les feuilles extérieures les plus dures, couper un peu la tige et l'éplucher légèrement, en prenant soin de passer le citron sur les parties tendres au fur et à mesure pour éviter que l'artichaut ne noircisse. Couper l'extrémité de l'artichaut (voir la photo) pour n'en conserver qu'un tiers, soit plus que pour la recette des artichauts à la poêle. Avec les doigts écarter délicatement les feuilles restantes de l'artichaut pour en dégager le coeur. S'agissant d'artichauts tendres, il est inutile d'aller chercher le foin pour le retirer. Saler les artichauts. Ils sont prêts à être farcis du mélange persil, menthe et ail. Ne pas hésiter à bien enfoncer les doigts entre les feuilles pour en mettre le maximum. Faire de même avec tous les artichauts. Dans une casserole, mettre de l'huile d'olive à chauffer puis y déposer les artichauts face contre le fond. Si vous avez dû couper les tiges car elles étaient trop longues pour la casserole, les ajouter au fond, elles seront aussi délicieuses cuites. Laisser colorer à feu vif pendant une à deux minutes. Il faut que la tête soit bien dorée. Mouiller avec le vin blanc et laisser évaporer l'alcool, toujours à feu vif. Ajouter ensuite de l'eau à mi-hauteur des têtes, baisser le feu, couvrir et laisser cuire environ 30 minutes. Il faut que les artichauts confisent lentement. Vérifier la tendreté à l'aide d'un couteau et ne pas hésiter à prolonger la cuisson si nécessaire. Lorsque les artichauts sont cuits, si le jus de cuisson semble trop liquide, augmenter le feu afin de le faire réduire et épaissir un peu. C'est prêt ! Les artichauts à la romaine se servent tièdes ou froid, nappés de leur jus.

  • Lentilles beluga au café expresso : ma recette légère

    Lentilles vertes, blondes, corail : il existe de nombreuses variétés de cette petite légumineuse si vertueuse pour la santé. Et de multiples recettes pour les préparer. Mais l'une d'elle, un peu moins connue, est la lentille beluga, appelée aussi caviar de lentille en raison de sa couleur noire. Nous l'apprécions tout particulièrement car, contrairement à ses cousines, elle ne se délite pas à la cuisson mais conserve sa forme bien ronde. Et avec son petit goût de châtaigne, elle est tout bonnement délicieuse à déguster. J'adore la cuisiner avec du café bien fort, mais à la différence de recettes trouvées çà et là, j'ai pris le parti de ne pas l'accommoder de façon trop riche, donc en évitant crème fraîche et beurre. Voici donc ma recette légère, facile, rapide, pour une entrée ou un accompagnement original. Ingrédients pour 2 personnes 160 g de lentilles beluga 1 branche de thym 2 cs de fromage tartinable type Saint Moret 2 cafés expresso bien forts sel et poivre Progression Suivre les indications de cuisson des lentilles, c'est-à-dire les mettre dans de l'eau frémissante, avec une branche de thym et ne saler qu'à mi-cuisson. Lorsqu'elles sont cuites, les égoutter. Les remettre dans une casserole avec le Saint Moret, mélanger et ajouter le café bien serré. Laisser infuser à feu très doux pendant une dizaine de minutes. Poivrer généreusement, décorer de quelques feuilles fraiches de thym et ajouter du sel si besoin. C'est prêt ! Mon conseil Ce plat de lentilles est aussi bon à déguster en entrée qu'en accompagnement, avec une viande blanche, par exemple.

  • Epaule d'agneau roulée farcie au pesto : une recette aux saveurs italiennes

    Le printemps c'est la saison de l'agneau. Voici donc une recette de circonstance : une épaule d'agneau désossée et farcie avec le délicieux pesto, la sauce italienne au basilic. La recette est aussi savoureuse que rapide à réaliser. Il faut évidemment avoir un boucher sympa - c'est mon cas ;) - qui va au préalable désosser pour vous l'épaule. Il faut ensuite avoir un bon pesto, cette super sauce italienne au basilic. Moi je la fais moi-même - ma recette ici - mais on peut également acheter un bocal tout prêt. Le reste est un jeu d'enfant. Une recette d'agneau qui régalera toute la famille. Ingrédients pour 4 personnes Une épaule d'agneau 1,3 à 1,5 kg 4 belles cs de pesto huile d'olive sel et poivre Pour réaliser le pesto soi-même (c'est meilleur !) Deux bouquets de basilic frais (une trentaine de feuilles) 1 gousse d’ail 20 g de pignons de pin 50 g de parmesan râpé (ou encore mieux: 30 g de parmesan et 20g de pecorino romano) 50 ml d’huile d’olive sel Progression Etaler l'épaule désossée sur une planche, face intérieure sur le dessus. Badigeonner généreusement l'épaule de pesto à l'aide d'une grande cuillère. Replier ensuite l'épaule en forme de rôti. Le ficeler avec une ficelle de cuisine. Pas la peine d'être un pro, ce n'est pas sorcier même si évidemment, le résultat n'est jamais aussi parfait que lorsqu'un boucher le fait ! Cette opération peut être préparée à l'avance, voire la veille. Personnellement, je trouve que c'est même préférable. J'entoure le rôti farci de film alimentaire et le laisse au frais jusqu'au lendemain. Cela permet aux saveurs de diffuser. Préchauffer le four à 180°. Si le rôti était au frigo, penser à le sortir pour le laisser à température ambiante une heure avant la cuisson. Le badigeonner d'huile d'olive et le saler puis le mettre dans un plat et enfourner pour environ une heure. L'arroser de temps en temps. Lorsqu'il est cuit, penser à le laisser reposer hors du four, recouvert de papier aluminium un bon quart d'heure. C'est prêt ! A servir avec l'accompagnement de votre choix. Moi j'opte le plus souvent pour une ratatouille. Mais avec des pommes de terre hongroises au persil c'est aussi délicieux. Mon conseil Découper le rôti en cuisine, puis récupérer le délicieux jus du plat en grattant le fond, et servir séparément, en saucière. Un peu gras ... mais tellement bon !

T&T tradition transmission
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